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  1. l0ve0ne

    L0ve0ne (Eastgate Web Workshop) was first told as an additive social networked story, on the Interactive Conference on Arts Wire, beginning in the fall of 1994. Each lexia was posted as a separate entry on the conferencing system. Portions of L0ve0ne were ported in different forms in servers all over the country, including the Arts Conference on The WELL. The story integrates hacker culture, early Internet technologies, a German "road trip"; and a love story that continues in Malloy's The Roar of Destiny.  The first person is used, as it is in many of Malloy's other works, as a narrative device that not only effects the telling, in that it allows the writer to disclose the details of the main character's life in an intimate way, but also effects the reading, in that it situates the reader directly in the main character's life and environment.

    Eric Dean Rasmussen - 14.03.2011 - 11:37

  2. L'Hymne à la Femme et au Hasard

    L’Hymne de la Femme et au Hazard a été publié dans le journal alire n° 7. Dans le programme, le lecteur a accès à une matrice dans un premier temps. Il a le choix d’entrer dans ces matrices en choisissant l’ordre d’apparition de trois matrices parmi les catégories suivantes : la femme, le hasard et le néant. Puis, le lecteur a accès à la lecture de la matrice. Une fois la lecture complétée, le lecteur a accès au surtexte, variation des images de la matrice en question. Le surtexte fonctionne comme un moule, moule qui est conditionné par le lecteur. Lorsque le lecteur lit le surtexte un sentiment de déprise surgit alors. En effet, celui-ci doit faire un effort non-trivial de lecture. Bootz définit d’ailleurs cette lecture comme « un travail » et « un investissement » de la part du lecteur. Ce dernier lit deux textes différents, disjoints dans le temps. Plus précisément, lorsqu’un vers apparaît, il s’efface vite pour laisser place à un autre vers. De plus, la vitesse à laquelle défilent les vers est parfois bien trop élevée pour qu’un œil humain puisse lire, déchiffrer ou mémoriser les mots.

    Johanna Montlouis-Gabriel - 07.09.2014 - 00:28