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  1. Amor-mundo, ou a vida, esse sonho triste

    Amor-mundo, ou a vida, esse sonho triste [World-love, or life, that sad dream] is an animated text which proposes generative schemes of both visual and audio animation. Building on metaphors and images from the works of the Portuguese poet Florbela Espanca, and using as its starting point the Actionscript code of Jared Tarbel, this work includes five poems: Part 1 - Deixa-me ser a tua mais triste mágoa; Part 2 - Eu queria ser o mar alto; Part 3 - Passo no mundo a ler o misterioso livro;  Part 4 - Sou o vento que geme e quer entrar; Part 5 - Horas mortas. The reader can add to these poems random spatial layers that allow the creation of multiple constellations of meaning.

    Rui Torres - 25.11.2011 - 19:20

  2. Amor-mundo, ou a vida, esse sonho triste (cn)

    Amor-mundo, ou a vida, esse sonho triste [World-love, or life, that sad dream] is an animated text which proposes generative schemes of both visual and audio animation. Building on metaphors and images from the works of the Portuguese poet Florbela Espanca, and using as its starting point the Actionscript code of Jared Tarbel, this work includes five poems: Part 1 - Deixa-me ser a tua mais triste mágoa; Part 2 - Eu queria ser o mar alto; Part 3 - Passo no mundo a ler o misterioso livro;  Part 4 - Sou o vento que geme e quer entrar; Part 5 - Horas mortas. The reader can add to these poems random spatial layers that allow the creation of multiple constellations of meaning.

    Rui Torres - 25.11.2011 - 19:35

  3. Ulysses 101

    Comme son titre l'indique, Ulysses 101 est une adaptation transmédiatique du roman de James Joyce publié en 1922, et dont les événements relatés se déroulent le 16 juin 1904, soit 101 ans avant la mise en ligne de l'oeuvre hypermédiatique. Sur un fond blanc, trois fenêtres carrées sont juxtaposées horizontalement afin de constituer un bandeau. Un nombre est attribué à chacune des fenêtres, la première est identifiée par « one », la seconde par « zero » et la dernière à nouveau par « one », transformant ainsi l’écart initialement noté (101) en nombre binaire (101, c’est-à-dire 5). Ces fenêtres renferment deux types de contenu, soit de courtes séquences filmées et des extraits de texte disposés adroitement. Le triptyque qu’elles constituent est aléatoire. Les séquences filmées offrent tour à tour des images d’une femme interviewée dans un café, d’une chaise berçante juchée sur un meuble en bois, d’un homme attablé dans un café et dessinant sur les pages d’un cahier, d’une porte couverte de graffitis qui s’ouvre en grinçant, de gens marchant la nuit dans les rues de Québec, d’une femme jouant de l’accordéon dans un local, etc.

    Jill Walker Rettberg - 26.08.2013 - 10:01