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  1. Dressage #7

    Claude Maillard and Tibor Papp’s “Dressage no. 7” is glaring example of anthropophagic inflection in early digital poetry. The authors, continuing to use the same language and themes established in previous editions of Alire, cast familiar words and phrases amidst a wider span of new visual contexts. Alternating graphical pages, verbal pages, and pages that incorporate both propel the narrative. Works in Maillard and Papp’s “Dressage” series address the diminishing status of civil liberties in general, inscribing their views in a new media format that revives the aesthetics of an earlier era with new purpose.

    (Source: Chris Funkhouser "Le(s) Mange Texte(s): Creative Cannibalism and Digital Poetry")

    Scott Rettberg - 31.01.2013 - 19:33

  2. L'Hymne à la Femme et au Hasard

    L’Hymne de la Femme et au Hazard a été publié dans le journal alire n° 7. Dans le programme, le lecteur a accès à une matrice dans un premier temps. Il a le choix d’entrer dans ces matrices en choisissant l’ordre d’apparition de trois matrices parmi les catégories suivantes : la femme, le hasard et le néant. Puis, le lecteur a accès à la lecture de la matrice. Une fois la lecture complétée, le lecteur a accès au surtexte, variation des images de la matrice en question. Le surtexte fonctionne comme un moule, moule qui est conditionné par le lecteur. Lorsque le lecteur lit le surtexte un sentiment de déprise surgit alors. En effet, celui-ci doit faire un effort non-trivial de lecture. Bootz définit d’ailleurs cette lecture comme « un travail » et « un investissement » de la part du lecteur. Ce dernier lit deux textes différents, disjoints dans le temps. Plus précisément, lorsqu’un vers apparaît, il s’efface vite pour laisser place à un autre vers. De plus, la vitesse à laquelle défilent les vers est parfois bien trop élevée pour qu’un œil humain puisse lire, déchiffrer ou mémoriser les mots.

    Johanna Montlouis-Gabriel - 07.09.2014 - 00:28

  3. En réponse à la lampe

    « En réponse à la lampe » a été publié dans le journal « alire n°6 » pour la première fois en 1992. En 1996, un portage informatique a été réalisé. Ce poème animé donne une possibilité importante de lectures grâce à l’apparition et la disparition de nombreuses bribes. Le poème bouge sur un écran noir, et le texte est pour la plupart imprimé en blanc. Le poème est composé de quelques éléments plutôt stables dans le temps, qui permettent au lecteur de pouvoir mémoriser un très petit nombre de vers, puis d’autres éléments ou vers apparaissent et disparaissent à leur guise, n’importe où à l’écran, rendant difficile de remédier à un sens quelconque, à cause de l’aspect transitoire du poème. Une esthétique de la frustration surgit de ce poème car, au moment où les vers apparaissent, ils s’estompent aussitôt. Cependant, l’aspect transitoire du texte permet une lecture temporelle, basée sur la mémoire du lecteur.

    Johanna Montlouis-Gabriel - 13.09.2014 - 21:53

  4. Le Nouveau prépare l'ancien

    En 2008, Philippe Bootz a publié une version monographe du journal alire, pour l’anniversaire de la publication de ses poèmes programmés qui datent de 1977-1978 (poésie matricielle) et de 1988, la première version d’Alire (0.1) qui a été présenté en 1989 au Centre Pompidou. Dans Alire 13, Bootz nous présente des œuvres inédites ou difficilement trouvables.

    Sergio Encinas - 15.09.2014 - 16:56